Sous le haut patronage de :
DomusVi connaît bien le sujet des aidants pour nos familles clientes à domicile ou en établissement et nous déployons des actions en leur faveur.
Nous savons à quel point cette situation d’aidant est délicate à vivre. Pour le salarié en activité professionnelle, la nécessité d’accompagner un proche malade, handicapé ou âgé primera sur toute autre considération. La situation d’aidant peut avoir des conséquences sur le travail (perte de concentration, baisse de productivité, absence), mais aussi sur la santé de la personne (stress, fatigue, anxiété).
Le rôle de l’entreprise est de pouvoir proposer des solutions qui tiennent compte des nécessités de service, et de veiller dans le même temps à ce que les salariés concernés par ces périodes d’absence n’aient pas à en pâtir dans le déroulement de leur carrière.
La question de l’aménagement du temps de travail et de l’anticipation des absences est d’autant plus essentielle que la valeur de notre activité est auprès des personnes âgées que nous accompagnons et auprès de qui nous devons assurer une continuité de service.
Nous avons signé en 2016 un premier accord d’entreprise pour le don de jours de repos en faveur de salariés qui accompagnent un membre de leur famille du premier degré (enfant/parent) ou un conjoint, concubin atteint d’une maladie ou victime d’un accident grave rendant indispensable une présence soutenue.
Un engagement à faciliter la vie de nos salariés aidants et à reconnaître leur statut et leurs savoir-faire.
Comme chaque situation est unique, chaque solution est trouvée sur mesure avec l’implication des managers de proximité. Nos salariés aidants peuvent bénéficier d’un accompagnement à plusieurs niveaux :
En s’occupant d’un proche malade, les aidants développent des compétences qui sont essentielles dans notre secteur d’activité et doivent être reconnues. C’est pourquoi nous prônons aussi une prise en compte juste et motivante de ces savoir-faire.
Cette reconnaissance se fait dès l’embauche, à partir d’un questionnaire de positionnement, qui permet de déterminer ensuite la valorisation conventionnelle de l’ancienneté qui sera appliquée au salaire de base à l’embauche pour l’augmenter.
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DRH Groupe Les Echos – Le Parisien
Responsable de département Action Sociale, Agrica
Directrice des Relations Humaines, AFNOR/ANDRH
Directrice en charge des relations avec les instances et de l’action sociale, Lourmel
Directeur général adjoint, Département de la Seine-Saint-Denis
Responsable Avantages sociaux, Engie
Directrice des Relations humaines, Audiens
Directeur délégué, France Alzheimer
Directrice générale, UNAF
Responsable de Département Action sociale, B2V
Ancien ministre, Directrice générale, OCIRP
Directrice de l’appui au pilotage de l’offre, CNSA
Secrétaire générale, Comité interministériel du Handicap
Chargée de missions ORSE, co-rapporteure de l’Avis «Engagement des entreprises pour leur salariés aidants» Plateforme RSE
Chargée d’études et de projets, IRP Auto
Administratrice, Association Française des Aidants
Conseiller CESE, CFE-CGC
Déléguée générale, Réalités du Dialogue Social
Directrice Action sociale, Pro BTP
18h00
18h10
18h20
Avec l’intervention d’Isabelle Barth (Professeure agrégée des Universités, chercheuse et conférencière en Sciences du Management), Romain Lescoeur (Directeur des ressources humaines de Bristol Myers Squibb France), Aurélie Pierre-Léandre (Directrice de Cap’ Handeo), Gwénaëlle Thual (Présidente de l’Association française des aidants).
Intervention de Vincent Valinducq (Médecin, chroniqueur santé à Télématin, France 2, aidant et auteur de « Je suis devenu le parent de mes parents », Stock 2023).
19h25
19h45